In­con­tes­ta­ble­ment Co­line a une patte. Il suf­fit de contem­pler ses grands ta­bleaux ex­po­sés salle Saint-Es­prit pour être sous le charme. Fonds im­pec­ca­ble­ment tra­vaillés, ap­port de la cou­leur par­fai­te­ment maî­tri­sé, com­po­si­tion struc­tu­rée sous une ap­pa­rente im­pro­vi­sa­tion. « Ce­la ne fait que quatre ans que je peins et plu­sieurs fois on a re­fu­sé de me croire », avoue l’ar­tiste. Toute en éner­gie ra­mas­sée, elle évoque comme ligne conduc­trice de son tra­vail, « une force » en elle. Après une vie bien rem­plie – pas­sée en grande par­tie à l’étran­ger – elle et son ma­ri ont choi­si Val­bonne pour se po­ser à l’heure de la re­traite. Pour Co­line, tout un pas­sé s’est alors re­mis en place : ses études aux Beaux-arts de Lyon. Et un be­soin ir­ré­pres­sible d’ex­pri­mer son res­sen­ti sur une toile est né : « J’ai fait un pre­mier ta­bleau, puis un autre, et je ne me suis plus ar­rê­tée », ra­conte celle qui avoue avoir don­né un nou­veau sens à sa vie. « Tant que l’en­vie est là, je conti­nue », dit-elle sim­ple­ment, fière de cette pre­mière ex­po­si­tion dans sa com­mune d’adop­tion.

In­con­tes­ta­ble­ment Co­line a une patte. Il suf­fit de contem­pler ses grands ta­bleaux ex­po­sés salle Saint-Es­prit pour être sous le charme. Fonds im­pec­ca­ble­ment tra­vaillés, ap­port de la cou­leur par­fai­te­ment maî­tri­sé, com­po­si­tion struc­tu­rée sous une ap­pa­rente im­pro­vi­sa­tion. « Ce­la ne fait que quatre ans que je peins et plu­sieurs fois on a re­fu­sé de me croire », avoue l’ar­tiste. Toute en éner­gie ra­mas­sée, elle évoque comme ligne conduc­trice de son tra­vail, « une force » en elle. Après une vie bien rem­plie – pas­sée en grande par­tie à l’étran­ger – elle et son ma­ri ont choi­si Val­bonne pour se po­ser à l’heure de la re­traite. Pour Co­line, tout un pas­sé s’est alors re­mis en place : ses études aux Beaux-arts de Lyon. Et un be­soin ir­ré­pres­sible d’ex­pri­mer son res­sen­ti sur une toile est né : « J’ai fait un pre­mier ta­bleau, puis un autre, et je ne me suis plus ar­rê­tée », ra­conte celle qui avoue avoir don­né un nou­veau sens à sa vie. « Tant que l’en­vie est là, je conti­nue », dit-elle sim­ple­ment, fière de cette pre­mière ex­po­si­tion dans sa com­mune d’adop­tion.

Pein­tures con­tem­po­raines, en par­te­na­riat avec l’Art Tisse, salle Saint-Es­prit place de l’Église, jus­qu’au 17 avril. Ou­vert de 14 heures à 18 h 30 et le week-end de 10 heures à 18 h 30.

Pein­tures con­tem­po­raines, en par­te­na­riat avec l’Art Tisse, salle Saint-Es­prit place de l’Église, jus­qu’au 17 avril. Ou­vert de 14 heures à 18 h 30 et le week-end de 10 heures à 18 h 30.